La guerre des clans
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Une guerre entre Fidèles et Rebelles; Qui la gagnera?
 
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 Naïa Dolverti, Médium sans (poivron) clan

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Naïa Dolverti
Sans clan
Naïa Dolverti


Nombre de messages : 14
Date d'inscription : 29/07/2009

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MessageSujet: Naïa Dolverti, Médium sans (poivron) clan   Naïa Dolverti, Médium sans (poivron) clan Icon_minitimeSam 17 Juil - 17:24

Nom: Dolverti
Prénom: Naïa
Surnom:
Âge: 22 ans
Nom de votre dragon de naissance et son élément: Throk
Rang:Sorcière (et Médium), sans clan

Caractère: Naïa ne parle jamais. Ni du passé, ni de l'avenir ni de la pluie et du beau temps. Plongé dans le silence depuis la mort de son père, nul ne sait exactement pourquoi les mots refusent toujours de franchirent ses lèvres, même après la mort de son mentor. Ses lèvres bougent à peine lorsqu'elle formule les incantations nécessaire à sa magie. Ses yeux en disent long pourtant, sur ce qui traverse son esprit et elle trouve moyen de se faire entendre par celui qui écoute bien. Elle semble fragile et délicate, autant physiquement que psychologiquement, mais ne pas savoir ce battre n'est pas pour elle une lacune. Généreuse et d'une extrême bonté, on a peine à croire qu'elle est pu tuer son mentor. c'est une énergie lumineuse qui émane d'elle et qui a tendance pourtant à attirer les énergies plus sombre sur elle. Cette apparente fragilité n'est pas une illusion. Elle peut se brisée à ce que, considère certain, bien peu de chose. Elle a cependant aussi une capacité infini à se relever. L'anéantissement est chez elle chose momentanée. La présence des ombres l'affaiblit, mais la pureté d'un coeur et de ses sentiments lui donne plus de force.
La croix qu'elle a mit sur la magie noire, n'enlève pas toute les connaissance qu'elle en a malgré elle. Il faut s'en méfier, car elle n'est pas à l'abri de l'ombre qui peut s'emparer d'elle. Neutre, contre la guerre, elle peut venir en aide aux individus, mais jamais à un clan.

Physique: C'est la douceur et la pureté qui émane d'elle. Ses yeux noirs sont un gouffre dans lequel nul ne peu s'empêcher de plonger lorsqu'il les croisent. C'est par son regard qu'elle parle et par se sourire magique, sans arrière pensée qu'elle sert parfois, lorsqu'un éclat lumineux traverse ses yeux. Elle semble parfois songeuse et alors l'éclat dans ses yeux disparait sans que l'on puisse lui soutirer la raison de se trouble. Menue et d'une rare fragilité, elle semble pouvoir se casser en un tour de main. Elle n'est pourtant pas s'en communiqué une énergie puissante qui attire le regard. Elle a un aura particulier, indéfinissable, qui la rend désirable, une force intérieure dont elle n'a pas conscience elle-même et qui la rend magnétique et qui la pousse à se relever jour après jour, même lorsque rien n'est là pour la pousser à le faire. C'est ce contraste étrange entre cette infini fragilité et cette impression qu'elle pourrait déplacer une montagne, si seulement elle en avait le désir.

Signes particuliers: Elle ne parle pas (mais elle n'est pas muette)

Armes: Un couteau à dépecer... et sa main pour donner des claques dans la figure (^^")

Pouvoirs: Divinatoire, Incantatoire, Communication avec l'autre monde (nécessite l'aide de son dragon)

Histoire: Déven avait été un homme grand, un homme fort. Il faisait partit de ses hommes que, naturellement, on prenait pour des géants. Il n’était pourtant pas plus grand qu’un autre de son village. Il n’en semblait pas moins pouvoir déplacer des montagnes. En riant, à l’époque, il aurait dit que c’est à cause de son pouvoir de télékinésie qu’il y arrivait. Mais maintenant il ne trouverait plus la force de rire de cela.
L’homme, le titan, celui qui forçait l’admiration par sa vigueur au travail et sa force au combat, était un homme aujourd’hui brisé par la souffrance. Il berçait maladroitement cet enfant qui pleurait à s’en fendre la raison, sans arrivée à la consoler. L’enfant était minuscule et lui semblait pourtant devenu un poids insurmontable. Dans les derniers mois pourtant, il attendait avec un indicible bonheur la venue au monde de son enfant. Il n’était mariée que depuis peu de temps à cette jeune femme d’un village voisin qui avait touché son cœur, aussi grand que lui l’était parmi les hommes. La famille qu’ils aspiraient à fonder ensemble et qui deviendrait la source d’un bonheur encore plus grand, il la tenait entre ses bras et les larmes immenses, capable de former des lacs en une seule goutte, ne cessaient pas de se déverser des ses yeux.
Sa femme était morte en donnant naissance à cette minuscule chose. Elle avait toujours semblé fragile, mais il n’aurait pas cru pouvoir la perdre. Il avait la force de la protéger de tout et quand bien même un volcan aurait essayé de l’avaler, il aurait pu la sauver sans peine. Il n’avait pas pu la sauver de cette petite chose pourtant. Chose qu’il avait lui même semé dans le ventre de son épouse. Un être si petit et si dénué de mauvaises intentions que nul ne s’en serait jamais méfié. L’enfant pleurait, pleurait toujours, mais c’est sa propre douleur qu’il cherchait à faire taire.

À sa propre surprise, il survécu. L’amour de sa vie était mort, mais subsistait une raison de vivre dans ce petit être qui, laisser à l’abandon ne serait-ce qu’un instant, pouvait disparaître, rejoindre sa mère. Lui en voulait-il? Au départ oui. Conscient de l’horreur de son sentiment, il ne pouvait s’empêcher de penser que si elle n’avait pas été là, son épouse serait encore.
Comme si elle avait entendu les pensées de son père, car il ne montra jamais à sa fille le sentiment qui avait prit racine au fond de son cœur, la petite Naïa devint la plus douce, la plus calme et la plus gentille des enfants que la terre est portée. Lorsqu’elle le voyait assit à la table, l’œil morne, songeur, elle se levait l’instant d’après pour venir à lui, tendre les bras pour le réconforter, alors qu’elle ne savait même pas encore parlé. Il se traita de mauvais père longtemps, mais à force d’amour, la rancune disparue, ne subsistant que la douleur profonde. Une blessure qui ne guérirait jamais.

Naïa, si elle sentait la tristesse de son père, eut tout de même une enfance heureuse. Délicate, fragile, mais si gentille et adorable que tout le monde l’aimait, elle obtenait des femmes qui faisaient leur lessive le long de la rivière, toute l’attention que sa mère invisible ne pouvait pas lui donner. Tout le monde l’adorait et s’attristait du malheur de Déven. Elle ressemblait à sa mère comme deux goutte d’eau. Ses cheveux blonds et bouclés tombant en cascade sur son dos, ses grands yeux d’un noir profond, s’illuminant pourtant au moindre petit bonheur, son corps délicat, fragile et son sourire qui jetait à terre quiconque la regardait.
Au fil des années, cette fragilité s’accrue. Elle était déjà sensible à la peine de son père et n’avait jamais supporté la moindre petite douleur physique. Elle devint aussi sensible à la douleur des autres, aux villages, aux sentiments profondément enfouis dans les cœurs, aux changements de températures et à d’autres choses encore qu’elle ne comprenait pas et qui la faisait pourtant réagir. Elle ne voulait pas se plaindre et essayait de taire, en dehors de la maison, les émotions et perceptions étranges qui l’assaillait, mais arrivant chez elle, elle fondait en larme presque aussitôt, sans pouvoir expliquer à son père, des plus inquiets, ce qui se tramait au fond d’elle-même.

Elle avait alors 5 ans et c’était les premières manifestations de son pouvoir et comme les pouvoirs de l’esprits se manifestent souvent de manière moins évidente que pour un élémental, ont s’inquiéta d’abord de sa santé avant de comprendre ce qui en était réellement. C’est un homme, de la carrure de Deven, venu de terres où la guerre faisait rage, qui comprit ce qui se passait réellement pour l’enfant. Il l’avait sentit aussitôt qu’il l’avait vu, assise sur sa pierre, un peu à l’écart. Elle, elle avait eut peur en le voyant. Une peur qu’elle ne comprenait pas et qui n’avait pas raison d’être. Il venait l’aider et expliquer ses maux, elle s’accrocha pourtant à son père dès qu’elle entra chez elle, le souffle court, le cœur palpitant, l’homme sur les talons. L’étranger et le père discutèrent longuement. La nuit laissa même place au matin et tout ce temps, Naïa avait gardé ses doigts accroché au tissu du pantalons de son père, craignant de le lâcher comme s’il disparaitrait à jamais si le contact cessait.
La proposition de l’homme était clair. Il pouvait montrer à l’enfant à se servir de son don et à le contrôler pour ne pas en être victime comme le devenait souvent les enfants avec ce genre de pouvoir. Cependant, il devait retourner sur les terres d’où il venait, car il y était attendu. Le père avait pourtant sentit l’enfant qui tremblait de tout ses membres à côté de lui et il avait aussi sentit son cœur à lui se serrer. Il ne pouvait pas laisser partir son trésor, sa seul raison de vivre, au bout de ce monde. La guerre y faisait rage, elle n’y survivrait pas.

Non. Naïa ne le quitterait pas.

L’homme s’en alla, laissant quelques recommandations à Déven pour aider sa fille et le prévenant aussi des dangers. S’il aimait Naïa, il aurait dut la lui laisser, pour qu’il lui apprenne à contrôler son pouvoir. Il disparut à l’aube et on ne le revit jamais au village. Deux ans passèrent. Deux ans, durant lesquelles le pouvoir de Naïa s’intensifia. Elle voyait des choses que les autres ne voyaient pas et ne pouvait dormir une nuit entière sans que ses rêves ne se peuplent de cauchemars, de visions terribles. Elle ne contrôlait rien, quand bien même elle essayait d’éloigner les esprits de son corps et de les empêcher de s’emparer d’elle. Sa peau était blanche et laiteuse. Elle était malade, terriblement malade. Son père sentait le gouffre du désespoir l’envahir et lorsque Naïa ne put plus sortir de son lit il cru sa fin venir. Le dragon de Naïa était arrivée quelques mois plus tôt, mais le jeune dragon ne semblait pas plus capable de contrôler ses pouvoirs, bien au contraire. Son arrivée n’avait qu’empirer la situation. Throk agissait comme un canalisateur d’énergie et attirait comme une aimant les esprits sur eux. Fallait-il tuer le dragon?

Un jour qu’il était au champs, Déven sentit derrière lui une présence qui le fit se retourner brusquement. Il faillit hurler de peur en apercevant la petite fille blême, les yeux profonds fixés sur lui, tremblante de terreur elle-même. Qu’est-ce que Naïa faisait debout? Voulait-elle donc mourir?!

- Retourne te coucher Naïa! Tu… tu ne dois pas sortir.

Naïa refusa pourtant obstinément. Elle restait à côté de lui, brulante de fièvre et tremblante d’effroi. Elle ne disait mot pourtant. Elle s’accrocha à lui, l’empêchant de travailler et refusa de le lâcher. La sentant glacée il la ramena à la maison et resta à son chevet tout le reste de la journée. Sa main demeura accrochée à lui tout le temps et même lorsque le sommeil eut raison d’elle, ses doigts restèrent encastré s dans les vêtements.

Quelques jours plus tard, lorsque l’on s’inquiéta de ne plus voir Déven sortir de chez lui et qu’une odeur de moribond empesta le village, on força la petite porte de la chaumière. Le corps de l’homme fut retrouvé, gisant sur le sol, sans vie. Et de la fillette, il n’y avait plus aucune trace.

Naïa c’était éveillée brusquement et n’avait pas eut besoin de regarder autour d’elle que l’horreur se peignait sur son visage. Elle c’était endormie alors qu’elle c’était jurée qu’elle ne le ferait pas! Elle n’avait pas pu veillée sur son père jusqu’à l’aube comme elle l’avait fait quatre ans auparavant. Elle n’avait pas vu le corps de son père et savait pourtant qu’il avait quitté ce monde. Elle le sentait au plus profond d’elle-même comme elle avait sentit toute la journée de la veille que l’horreur arriverait avec la nuit.
Elle se trouvait alors près d’un feu et la nuit avait laissé place au jour. Elle se sentait déjà moins fiévreuse, mais sentait la faiblesse de son corps toujours tremblant d’effroi. L’homme assit devant elle la contemplait en silence, la mine songeuse. Elle le reconnue sans peine pour être l’étranger d’autrefois, mais n’en fut pas surprise. Terrifié certes, et le mot est faible, mais pas surprise. Il lui sourit avec amabilité et lui demanda si elle avait bien dormi et un frisson la parcourue toute entière. Elle ressentait l’aura noire qui émanait de l’homme et voyait en lui tout ce qu’il y avait de sombre, comme elle l’avait vu la première fois. Elle ne lui répondit pas. Elle ne lui répondit d’ailleurs jamais. Il s’en amusa plus qu’autre chose, de la voir ainsi ce plonger dans le mutisme le plus total.

L’homme, Treventh, l’amena avec lui vers cet immense royaume qui n’avait rien à voir avec son petit village. Elle le suivit malgré elle, car elle ne pouvait se débrouiller seule et risquait la mort. Ses yeux implorant pourtant se tournait vers les gens qu’ils croisaient, aspirant à être délivré du mal qui prenait la forme de se voyageur que tous trouvait pourtant fort amical. Les gens restaient aveugles à son tourment et jamais les mots ne s’extirpèrent de sa bouche pour crier à l’aide. Elle demeurait silencieuse, ses yeux plus profonds encore qu’ils ne l’avaient été, car ils étaient maintenant vide de vie.
Elle avait donc 9 ans lorsqu’elle se retrouva à vivre parmi les fidèles. La proximité de la guerre, la mort de son père, la présence de l’homme noir… Tout cela n’aidait en rien la jeune fille à prendre le dessus sur son pouvoir. Treventh tint pourtant parole. Il tâcha de lui enseigner tout ce qu’il savait. La magie noire qu’il lui enseignait la dégoutait, l’effrayait et si elle tentait de se dérober à son enseignement, il arrivait à lui faire voir et sentir des horreurs tels qu’elle finissait par se plier à sa volonté. Il était le maitre et elle était l’élève. Il la présenta comme sa fille à la cours où il était reconnu. Son épouse aillant disparut plusieurs années auparavant, portant un enfant au creux de son ventre, tous le crurent et comme elle n’ouvrit jamais la bouche pour dire le contraire elle devint sa fille.

Durant son adolescence, Naïa fut témoin de bon nombre des horreurs que pouvait semer l’homme autour de lui. Elle en provoqua aussi malgré elle. Aujourd’hui elle ne parle jamais (évidemment, puisqu’elle ne parle pas) des démons qu’elle dut convoquer pour le bon plaisir de son maitre et des malédiction qu’il lui apprit à jeter. Les quelques personnes au courant de ses anciennes pratiques le lui rappel parfois et elle en blêmit à cette seule pensée. Ces années furent pour elle un long et interminable cauchemar. Elle y survécue, comme son père avait survécue, grâce à son dragon. Ces durant ses années qu’elle se lia d’avantage à l’animal qu’elle ne l’avait fait auparavant. S’il n’était pas aussi effrayé qu’elle par la noirceur qui les avaient avalé, il faisait tout pour la réconforter et la protéger comme Déven l’avait fait à l’époque.
Treventh aussi la protégeait, tenant à elle comme à la prunelle des ses yeux. Nul n’avait le droit de l’approcher sans son consentement et un jour qu’elle était au marché, jeune fille presque femme, elle fut prise entre deux bâtiments par un homme qui avait vu en sa fragilité évidente l’occasion de faire ce qu’il voulait d’elle. Silencieuse, elle n’avait pas même criée, mais la peur avait brillée dans ses yeux. Treventh était arrivé juste à temps. Aillant sentit ce qui allait être commis et l’homme gémit longtemps avant que Treventh ne l’achève complètement. Il la ramena à la maison et lui interdit par la suite de sortir sans lui. Il était alors toujours près d’elle à la surveiller et il la fit se plonger plus profondément encore dans l’étude de la magie noire pour l’occuper.
Elle attirait le regard des hommes sur elle chaque fois qu’elle sortait, rendant fou de rage son père adoptif qu’elle sentait frémir à côté d’elle. De nouveau sous son emprise, sans la moindre liberté comme lors des premières années à son contact, elle recommença à chercher de l’aide dans le regard de ceux qu’elle croisait sur son chemin. Nul ne l’entendait pourtant de sorte que la noirceur qui n’avait jamais eut de réelle emprise sur elle, commença à gagner tranquillement son cœur. Si elle le tuait… Une ombre se mit à planer autour d’elle, à lui murmurer des choses qu’elle devait faire. Naïa n’était plus elle-même, mais au lieu de se méfier Treventh se réjouit de cette nouvelle noirceur.
On matin, parce que plus personne ne les avaient vu sortir depuis plusieurs jours, la porte fut forcé et l’on retrouva le corps de l’homme gisant sur le sol. De Naïa et du dragon il n’y avait plus aucune trace.

Naïa revint à la source, dans son village natale. Là-bas on cru voir revenir un fantôme, tant elle ressemblait à sa mère décédée à sa naissance. Elle fut reconnue rapidement, malgré le temps, à cause de cette ressemblance et certains s’inquiétèrent. Si on savait que l’adorable fillette n’aurait jamais pu tuer son père, on craignait que les démons s’étant emparé d’elle, elle aurait pu elle même commettre l’irréparable sans le vouloir. Des questions lui furent posée, mais elle ne parlait toujours pas. Elle visita le cimetière, implora ses parents de venir à elle lui parler, l’aider. Elle se retrouvait seule, sans protection autre que son dragon et sa vie n’avait plus de sens depuis la mort de son père. Ils ne lui apparurent pas, comme le faisait pourtant bon nombre d’autres esprits inconnus d’elle.
Au bout d’une année à errer ainsi, à se rendre malade à en frôler de nouveau la mort, elle préféra quitter son village, croyant le faire pour toujours. Elle devait tirer un trait sur son passé ou sur sa vie. Le choix s’imposait. Elle choisit de vivre, car c’était là la seule véritable force que son père lui avait transmit.
Elle brula ses connaissances de la magie noire, refusant d’en faire la pratique, étonnement, elle retourna ensuite là où la guerre entre rebelles et fidèles faisaient rages. Elle ne retourna pas parmi les fidèles et n’essaya pas non plus de se joindre aux rebelles. Elle trouva cette clairière au milieu de la forêt, qui lui rappelait le terrain ou elle était née, à la différence que cette clairière n’était pas imprégnée des mêmes horreurs. Elle y fit son refuge. Non sans mal. Naïa ne savait pas construire plus qu’elle savait se battre ou chasser. Throk savait mieux manier la hache qu’elle et la petite chaumière avait un aspect quelques peu grotesques, du fait qu’elle avait été construite par les pattes maladroites d’un dragon.

Naïa voulut réparer le mal qu’elle avait l’impression d’avoir causé, utiliser à bon escient son pouvoir qui ne pouvait être fait seulement d’ombre. Certains de ceux qui passèrent par la clairière reconnurent en la belle jeune femme, la fille de Treventh, cependant que l’éclat brillant dans ses yeux étaient pour eux une chose nouvelle.


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