Nom: Vanïr
Prénom: Marguerite
Surnom: Margot
Âge: 20 ans
Nom de votre dragon de naissance et son élément: Sèvr, dragonne de feu
Rang: Noble
Caractère: Une main de fer dans un gant de velours. C'est ainsi que l'on pourrait décrire Marguerite. Elle est douce et d'agréable compagnie. Capable de s'intéresser autant à la stratégie militaire qu'à la fine broderie, elle apparaît comme une femme cultivée et charmante, plus discrète que la plupart des autres femmes de haut rang, on a tendance à vouloir lui faire confiance, malgré quelques médisances que les commères n'hésitent pas à ressasser.
Derrière cet agréable tempérament, elle arrive habituellement à mener les gens là où elle le veut. Elle démontre une assurance et une fierté difficile à faire chavirer. Elle peut se montrer autoritaire et n'a pas l'habitude de se laisser arrêter par quelques obstacles que ce soit.
Il est difficile, malgré les heures de bavardages avec elle, de saisir exactement la complexité de sa personne. Elle n'aime pas que l'on s'intéresse véritablement à elle ce qui la rend mystérieuse et, au fond, difficile à saisir por qui le souhaite.
Physique: Elle a de grand yeux gris, d'une intensité désarmante qui peuvent glacer le sang autant que charmer les hommes. Sa longue chevelure d'un blanc immaculé est toujours bien coiffée, comme le reste de sa personne est toujours bien soignée pour se mettre en valeur, sans en mettre trop. Tout en elle est savamment calculé autant ses sourires que l'ombre à paupière qu'elle utilise pour agrémenter son visage ou que ses parures élégantes qui attirent le regard. Elle est d'une beauté renversante qui lui a valut de se faire faire la cours à de nombreuses reprises et ses manières de ne pas trop se rendre compte de ses atouts ajoutent à son charme. Elle apparaît généralement comme une femme assez facile d'approche, mais qui aime cultiver le mystère.
Signes particuliers: -
Armes: Cimeterre
Pouvoirs: feu
Histoire: Marguerite naquit dans une famille noble qui accordait plus d’apparence à ce que pouvait penser et dire les autres qu’à la noblesse du cœur. Alors qu’elle allait sur ses 6 ans, Marguerite n’avait rien d’autre à se reprocher que d’être une enfant à la fois trop gâtée et trop prise dans une structure qui ne lui allait pas. Quel importance cela faisait-il pour une fillette, ce que pouvait penser la cousine par alliance de la marquise, si elle se barbouillait de saleté dans les rues de la cité?
Cette époque maintenant révolue, Marguerite n’aime pas s’en rappeler. Un malheur, comme il en arrive si souvent durant les guerres, vint mettre un frein à son enfantine insouciance. Le Duc Vanïr et son épouse furent guillotinées pour avoir comploter contre la royauté et avoir donner des informations aux rebelles. Si cela était vrai ou si cela était faux, Marguerite ne le sut jamais, car sa jeunesse ne lui avait pas fait accordé beaucoup d’importance à ce que pouvait faire ses parents. Qui sait si ce n’était que la vengeance d’une comtesse ou d’un duc que de mettre sur le plancher de faux ragots?
Marguerite se retrouva orpheline et dut porter un nom salit et déshonoré. Si on ne la jugea pas dangereuse à cause de son jeune âge et qu’on lui laissa la vie sauve, il n’en demeura pas moins que parmi les nobles, elle dut subir les moqueries et les coups bas que pouvaient donner les nobles gens. Elle passa bon nombre d’années seule, sans qu’aucun autre enfant de noble de veuillent l’approcher sans une lueur de mépris dans le regard.
C’est en vieillissant qu’elle comprit ce qui était arrivé à ses parents et ce que signifiait de porter le nom de gens considérés comme traitre. Elle se sortie de sa réserve qui l’avait gardée seule si longtemps et l’idée de redorer le nom qu’elle portait se mit à l’obséder.
Elle se montra parfaite et agréable de compagnie, cultivée de surcroit, grâce à tout se temps passé seule à flâner dans la bibliothèque. Elle s'intéressa à la cause des fidèles, plus que beaucoup de noble qui préféraient rester dans leur salon à boire du thé et envoyer les gens du peuple qui leur était encore fidèle à la royauté ce battre à leur place. Sa haine pour les rebelles, qu'elle tenait inconsciemment responsable de la mort de ses parents et son besoin de prouver sa fidélité la poussèrent donc à se montrer plus active pour la cause fidèle.
Autres: [Acceptibus]... Nanh c'est pas ça!!
Ven 6 Nov - 17:37
