Nom: Poll
Prénom: Dubh II
Surnom:-
Âge: 4 ans
Nom de votre dragon de naissance et son élément: - (n’en a pas pour l’instant)
Rang: Enfant Fidèle
Caractère: C’est une fillette étrange qui peut sembler un peu cruelle quand elle s’amuse. Elle passe beaucoup de temps seul, puisqu’elle fait peur aux autres enfants de son âge. Il lui est arrivé d’essayer de tuer un autre des orphelins pour jouer. Elle a tendance à fouiner un peu partout et c’est une enfant très bavarde. Elle peut se révéler attachante quand elle n’essai pas de tuer les autres et, fondamentalement, elle n’est pas méchante. Elle n’est pas de nature craintive, bien au contraire, et à la manie de poser pleins de questions quand ce n’est pas le temps. Il arrive de la voir parler toute seule dans les couloirs du château et elle parle parfois de rêves étranges qu’elle a la nuit. Elle est difficile de la faire tenir en place et elle adore toucher à tout.
Physique: C’est une petite fille à la peau très pâle et aux cheveux châtains. Elle est plus petite que la plupart des enfants de son âge et son visage enfantin lui donne l’air un peu plus jeune qu’elle ne l’est réellement. Elle est de nature souriante, mais ses yeux d’un bleu éclatant semblent parfois s’obscurcir de manière étrange. Elle a quelque chose qui rappelle la beauté des anges, même lorsqu’elle revient d’une journée passée à jouer dans la boue. Elle porte habituellement des robes simples, de couleur unit et se soucis bien peut de son apparence physique, à la différence de la plupart des fillettes qui sont de sang noble.
Signes particuliers:
Armes: (aucune pour l’instant)
Pouvoirs: Contrôle très partielle de la Nécromancie
Histoire: La nuit était anormalement sombre dans ce coin reculé de la forêt. Il était impossible d’y voir à plus de quelques centimètres devant soi. Un homme marchait, brisant le silence à chacun de ses pas. Tous les êtres vivants semblaient à l’affût, osant à peine respirer. La seule lumière visible semblait émaner avec difficulté de l’homme. Il marchait donc sans voir où il allait. Cependant, il ne semblait nullement ralentit par la noirceur. Ses pas le menèrent directement à une caverne où la densité de la noirceur était telle qu’on aurait pu croire l’air chargé de charbon.
Au prix de quelques efforts, il parvint à augmenter la force de la lumière qui émanait de lui pour éclairer la source des ténèbres qui l’entourait. Son regard tomba sur le visage endormi d’une jeune femme. Il recula d’un pas, car la vision n’était pas celle auquel il c’était attendu. Il avait déjà vu ce visage qui avait été si froid, dépourvu de toute humanité. Mais dans le sommeil, elle n’était qu’une femme effrayée, ravagée par le temps. Sa peau était celle d’un être qui sortait à peine de l’adolescence, mais les traits de sa douleur semblaient si profonds dans son visage, qu’elle ne pouvait avoir l’âge qu’elle paraissait avoir. Il abaissa son arme, résolu à ne pas tuer cette créature qui ne pouvait être totalement maléfique.
Il resta auprès d’elle durant plusieurs nuits, alors qu’elle dormait d’un sommeil lourd et douloureux. Il repartait avant son réveille et restait à l’écart tout le jour. Il ne tarda pas à remarquer que sa présence semblait apaiser la jeune femme durant son sommeil. Il ce risqua donc à la rejoindre durant le jour. Il s’approcha d’elle alors qu’elle était occupée à dépecer un animal qu’elle avait tué. Sa manière de faire n’était pas sans sauvagerie et rendit légèrement inconfortable le guerrier de lumière.
Lorsqu’elle entendit les pas, Dubh se retourna vivement. Elle regarda l’homme qu’elle avait combattu de nombreuse fois. Son regard avait été, jusqu’alors, froid et légèrement dégoûté. Il en fut tout autrement ce jour-là. Elle parut d’abord surprise et au bout de quelques secondes elle dit, sur un ton de voix éteint:
-C’est donc à vous que je rêve.
Il fallut longtemps encore avant que l’homme ne puisse réellement l’approcher de nouveau. Elle lui avait demandé de partir et de la laisser tranquille. Il n’avait pas put s’y résoudre et avait continué de suivre ses pas à distance. Elle était seule, sans dragon. Il ignorait où était la bête qu’il avait pourtant déjà vu souvent auparavant.
Un mois passa. Dubh savait que l’homme la suivait toujours, mais commençait, étonnement, à apprécier cette présence. Ils étaient de plus en plus prêts l’un de l’autre et, un jour, ils en vinrent à marcher ensemble, comme si cela eut été naturel. Les traits de Dubh s’adoucissaient de jour en jour et elle avait l’impression de vivre réellement. Quelque chose naissait dans son cœur, une chose totalement inconnue pour elle.
Ils finirent par se rendre compte que l’amour les liait l’un à l’autre. Ils devinrent inséparables et Dubh ne tarda pas à voir son ventre s’arrondir. Alors que le père était profondément heureux, elle était en proie à des crises d’angoisses fréquentes. Elle avait semé la mort sur son chemin depuis si longtemps. Comment pouvait-elle donner la vie ? Comment prendraient-ILS la chose…
Dorché, le dragon de Dubh, revint durant la nuit. Ses yeux rouges brillaient d’une lumière inquiétante. Les deux amoureux se réveillèrent en entendant ses lourds pas qui approchaient. Le feu c’était éteint et Dubh sentit l’air ce glacé.
-Qu’est ce qui se passe ici Dubh.
La voix du dragon n’était qu’un souffle rauque, dépourvue de tout ce qui put être vivant. Dubh frémit en entendant cette voix qui semblait venir des profondeurs de l’enfer. Le dragon ce tourna vers le guerrier de lumière qui avait sortit son épée. Tout disparut brusquement. Plus sombre encore qu’une nuit sans étoiles et sans lune. Dubh n’entendit qu’un hurlement et su que celui qu’elle avait aimé venait de rejoindre l’autre monde.
Dubh et Dorché ne reparlèrent pas de l’événement, mais Dubh cherchait par tout les moyen d’échapper à son dragon. Une lumière avait éclairé son chemin et s’était éteinte. Elle ne pouvait supporter le désespoir qui lui ravageait le cœur. Elle savait qu’elle ne pourrait jamais le faire revenir. Il ne serait alors rien de plus que ce qu’était devenu son dragon.
Une nuit, elle parvint à tromper la vigilance de Dorché, qui gardait un œil sur elle en permanence depuis l’incident. Elle voulut fuir le dragon a tout jamais, comme elle avait fuit la mort. Elle n’avait parcourut qu’un mille, que des contractions l’empêchèrent de faire un autre pas. Elle dut s’arrêter sur le bord du chemin, tremblante.
Elle devait sauver cet enfant. Dorché le lui arracherait aussi. Elle ce força a avancer encore et encore, mais elle avait sentit l’animal qui prétendait être son dragon se réveiller. Elle parvint à un château. Ce château… ne l’avait-elle pas déjà vue quelque part. C’était il y avait si longtemps. Les décennies avaient passés depuis. Elle laissa l’enfant aux portes du château. Dorché n’irait pas le chercher en ses lieux.
Un instant, elle songea à cesser de ce battre contre la mort. Elle était fatiguée de cet éternel combat. N’y avait-il pas autant d’horreur dans la vie que dans la mort? Les enfers ne vaudraient-ils pas mieux? Elle disparut dans la forêt, songeant qu’à un moment, il y avait eut une chance pour elle d’être heureuse.
Elle n’avait laissée avec l’enfant, qu’un mot écrit rapidement:«prenez soin de Dubh». L’enfant fut donc élevé chez les fidèles, avec d’autres orphelins.
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