Je n’aime pas le sang
Rédigé par Adèlia, puis rendu à peu près compréhensible par Toundra
Il y avait du sang partout. Maman l’appelait notre petite-arc-en-ciel et elle voulait que je l’appel ainsi, quand je lui parlais dans sa tête. Maman ne pouvait pas lui parler, alors elle me disais, dit lui qu’on lui dit bonjour! Et je répétait dans la tête de cette petite chose: «Bonjour petite-arc-en-ciel». Maman me demandais si je l’aimerais et je lui disais que oui. Elle me demandais si je l’emmènerais jouer avec l’autre et je disais que oui.
Mais un jour elle m’a dit que ça n’allait pas. Pas ma mère, Arc-en-ciel. Elle ne parlait pas dans ma tête, c’était des images, comme les animaux, mais à son esprit à elle je m’étais intéressée et pas ceux des écureuils. Alors je comprenais. Ça n’allait pas, pas du tout. Elle était prise, elle ne passerait pas. Elle voulait que je l’aide. Je l’ai sentit. J’ai prit un couteau. Il brillait à cause du soleil dehors. Il faisait beau ce jour-là. Ma mère a eut peur, mais elle ne m’a pas arrêtée, elle savait qu’Arc-en-ciel ne passerait pas. Elle savait qu’il fallait la sauver. Alors je l’ai sortie de là. Et il y avait du sang. Partout. Sur les murs, sur le plancher, au plafond.
Elle pleurait. Des gens sont venus. Je ne me souviens plus, à cause de tout se sang qui me bouchait les yeux, le nez, la bouche, les oreilles. Après elle n’était plus là, le corps de ma mère non plus. On m’avait pas emmené, je ne sais pas pourquoi, mais les gens avait peur de moi après. Alors je suis partie, j’ai trouvé Toundra. J’ai perdue Arc-en-Ciel.